Plan de l'article
Postnatal 2020 :
Pensé pour améliorer l’attachement et permettre un meilleur développement de l’enfant, le congé parental postnatal augmente la période de repos et permet aux parents de choisir le format qui leur convient le mieux.
Modalidaux
- 24 semaines de repos complet pour les mères (postnatale normale et postnatale parentale 12 semaines à plein temps), avec une indemnité de rémunération, avec un plafond de 73,2 unités brutes de développement (UF).
- 12 semaines de repos complet pour les mères, puis 18 semaines par demi-journée . Dans cette deuxième phase, 50 % de la subvention sera annulée (avec un plafond de 36,6 UF).
- 12 semaines de repos complet pour les mères . Sur les 12 semaines restantes à temps plein, ils peuvent passer un maximum de six semaines aux parents. Si les mères optent pour le temps partiel pour cette deuxième étape, elles ne peuvent passer 12 semaines aux parents dans la même modalité.
Qui peut y accéder ?
- Travailleurs à charge : Ils doivent compter six mois d’affiliation à un administrateur de caisse de retraite (AFP) et trois cotisations de retraite ou plus, continues ou discontinues, dans les six mois précédant la période prénatale. Ils doivent également être affiliés à Fonasa ou à un Isapre.
- Employés qui versent des cotisations indépendantes ou honoraires : ils ont besoin d’un an d’affiliation à un AFP et six cotisations de retraite ou plus continues ou discontinues, dans les 12 mois précédant la date prénatale. En outre, ils doivent être affiliés à Fonasa ou à un Isapre.
- Les travailleurs temporaires par travail, service ou emploi peuvent bénéficier de la nouvelle prestation postnatale appelée Allocation de maternité. Pour postuler, ils doivent être licenciés au moment du début de la période prénatale (six semaines avant de l’accouchement), en plus de satisfaire aux exigences suivantes avant de tomber enceinte :
- Créditer une année minimale d’affiliation dans un AFP et Fonasa ou Isapre.
- Avoir huit cotisations de retraite ou plus (continues ou discontinues) en tant que travailleurs à charge, au cours des 24 derniers mois.
- La dernière contribution peut être effectuée dans le cadre de tout type de contrat à durée déterminée, par travaux ou travaux spécifiques.
Montant de la subvention postnatale 2020
Tant pour les femmes à charge que pour les travailleuses indépendantes, le montant de l’allocation correspond à la moyenne de la rémunération ou du revenu obtenu avant la grossesse , par rapport à la moyenne obtenue trois ou six mois avant le début de la période prénatale.
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correspondra au revenu moyen des 24 derniers moisLe montant de la subvention correspond à la plus faible des deux moyennes, allant d’un demi-revenu mensuel minimum à un maximum de 73,2 UF. De même, les femmes qui ont généralement un contrat fixe, travaillent ou travaillent, mais au moment de la période prénatale, ils ne travaillent pas, le montant de l’allocation , qui peut varier d’un demi-revenu mensuel minimum et au plus 73,2 UF.
Comment transférer l’autorisation postnatale au Père
Si les deux parents sont des travailleurs, la mère peut choisir de passer des semaines de congé au père :
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- Si la mère décide de prendre 12 semaines à temps plein, elle peut passer un maximum de six semaines au père à plein temps .
- Si la mère décide de prendre 18 semaines à temps partiel, elle peut passer un maximum de 12 semaines sur une demi-journée .
À partir de la septième semaine , une partie de ce droit peut être transférée au père. Le père a droit à la juridiction pour deux fois la période prise à plein temps ou pour un maximum de trois mois s’il l’utilise un jour ouvrable partielle, comptée à partir de 10 jours avant le début du permis.
Si le père doit utiliser le permis, il doit eninformerson employeur, l’employeur de la mère et la Direction du travail aumoins dix jours à l’avance .
Le congé payé de cinq jours pour le père au moment de la naissance de son enfant reste valable.
Permis d’une demi-journée
Si la mère qui travaille choisit de retourner au travail à temps partiel pendant son congé parental, elle doit en aviser son employeur par lettre certifiée accompagnée d’une copie à l’Inspection du travail au moins 30 jours avant la fin de sa période postnatale normale (12 premiers semaines). Si vous ne faites pas cela, vous devez prendre le repos parental postnatal complet de 12 semaines. L’employeur est tenu d’accéder à votre demande, sauf si la nature du travail exige qu’il soit fait à plein temps (ou la journée de travail qu’elle avait avant son congé prénatal). Dans ce dernier cas, l’employeur peut refuser de la réintégrer, de manière fondée, et doit en aviser le travailleur (dans les trois jours suivant la réception de la communication) par lettre certifiée conforme au travailleur, avec copie à la Direction du travail.
Les femmes ont le droit de porter plainte pour ce refus auprès de la Direction du travail (dans les trois jours ouvrables suivant la réception de la notification de l’employeur), qui décidera s’il est justifié ou non.
Accouchements multiples et enfants prématurés
- Les mères d’enfants prématurés nés avant les 32 semaines de gestation ou pesant moins d’un kilos et demi à la naissance se verront accorder six semaines supplémentaires après la naissance.
- Les mères qui ont eu des accouchements multiples se verront accorder sept jours de travail supplémentaires après la naissance pour chaque enfant supplémentaire.
- Si c’est une grossesse multiples et les enfants sont nés prématurés, le plus grand congé sera appliqué .
Enfants adoptés et postnatals
Les parents d’enfants adoptés de moins de six mois bénéficient à la fois de la période postnatale (12 semaines) et de la nouvelle période postnatale parentale (12 semaines supplémentaires), conformément aux règles générales.
Les parents d’enfants adoptés âgés de plus de six mois et de moins de 18 ans bénéficient du congé parental postnatal (12 semaines), avec l’allocation correspondante.
Compétence maternelle
Les mêmes droits sont maintenus avec la période parentale postnatale. C’est-à-dire que les travailleuses ont la juridiction maternelle dès la conception jusqu’à ce que l’enfant atteigne l’âge d’un an et 84 jours. Il n’est pas question de droits acquis dans le domaine prénatal et postnatal.
Nouvelle loi sur la protection des responsabilités parentales : urgence postnatale
Il vise à protéger 850 000 mères, pères et gardiens d’enfants d’âge préscolaire pendant l’urgence sanitaire actuelle dans le pays en tant que produit du COVID-19.
À cette fin, le projet crée un nouveau congé parental préventif pour raisons médicales COVID-19 — facturé par l’ISAPRE ou la FONASA selon le cas —, auquel peuvent accéder toutes les mères et les pères dont la période postnatale a expiré le 18 mars et peut être prolongé jusqu’à à trois mois , à condition que l’état d’urgence constitutionnel soit maintenu en raison de la pandémie. De cette façon, les parents peuvent continuer à recevoir le montant équivalent à celui reçu pendant le congé parental postnatal.
Le projet permet également aux responsables de la prise en charge des enfants de moins de six ans (nés depuis 2013) de demander la suspension des prestations contractuelles et d’accès en vertu de la loi sur la protection de l’emploi.
Entre – temps, le Sous – Secrétaire à la sécurité sociale, Pedro Pizarro a souligné le congé médical COVID-19, qui bénéficiera spécifiquement à environ 45 000 mères ou pères, qui sont des travailleurs à charge, des pigistes et des fonctionnaires, et qui ont expiré leurs parents postnatals depuis le 18 mars . Il a également mis l’accent sur l’approche de la « coresponsabilité » inscrite dans les nouveaux règlements, car elle peut être demandée à la fois par la mère et par le père ou le soignant. Il a également souligné, l’autonomie que le travailleur devra opter pour cette prestation puisque, si elles s’appliquent, l’employeur ne sera pas en mesure de refuser.
Compatibilité avec d’autres avantages de Covid 19
Le sous-secrétaire Pizarro a ajouté que les congés parentaux préventifs médicaux et les prestations reçues pour la suspension des contrats de travail pour des raisons de soins « seront pleinement compatibles avec le revenu familial d’urgence et les autres prestations ».
Période de
Le congé préventif Covid-19 peut être demandé par le bénéficiaire du congé parental postnatal pour une période de 30 joursvalidité , prorogable deux fois pour des périodes continues jusqu’à la fin de trois mois, à condition que l’état d’urgence constitutionnel soit en vigueur.
Exigences pour bénéficier d’un rôle parental protégé
- Les mères, pères ou soignants d’enfants nés à partir de 2013 peuvent bénéficier de la suspension de leur contrat de travail pour des raisons de soins et bénéficier des prestations prévues par la loi sur la protection de l’emploi, tant que l’établissement d’enseignement des garçons ou des filles ne fonctionne pas par acte ou déclaration d’autorité en raison du COVID-19.
- Être affilié à l’assurance-cessation d’emploi et se conformer aux exigences de la Loi sur la protection de l’emploi.
- Être la seule personne dans le foyer d’accueil à suspendre son travail en vertu de la loi sur la protection des Emploi.
- Les femmes qui travaillent dans des ménages privés ont le droit de demander un congé préventif COVID-19 à condition qu’elles aient eu recours au congé parental postnatal ou demandent la suspension unilatérale de leur relation de travail pour des raisons de soins et bénéficient de la loi sur la protection de l’emploi, à condition qu’elles aient l’accès aux prestations visées à l’article 4 de la loi n o 21 227.
Montant du bénéfice
Le montant de l’indemnité associée au congé Covid-19 est équivalent à celui de l’allocation pour le congé postnatal parental et sera payé par l’Isapre auquel le travailleur ou Fonasa est affilié, selon le cas.
Dans le cas de ceux qui bénéficient de la suspension de leur contrat de travail pour des raisons de soins, leurs montants sont directement liés aux dispositions de la loi sur la protection de l’emploi. Les prestations visées par la présente loi sont : compatible avec le revenu familial d’urgence, ainsi que d’autres avantages économiques.
Comme demandé la prolongation du permis postnatal
- L’ employeur doit présenter la demande du travailleur de demander l’application de la Loi et ne doit pas la refuser.
- La procédure de prolongation de la période postnatale parentale doit être demandée auprès de la Surintendance de la Sécurité Sociale (Suseso).
Inscription par l’employeur
À partir du 10 août. La procédure est effectuée par l’employeur entrant avec son ruth et mot de passe de Précédent Entrez ici pour faire la demande
Pour plus d’informations :
- Revoir le guide juridique de la Bibliothèque du Congrès national du Chili.
- Voir la foire aux questions sur la Loi sur la protection des responsabilités parentales
- Loi n° 20.545portant modification des règles relatives à la protection de la maternité et incorporant le congé postnatal Parentale.
- Donner des renseignements sur la protection de la maternité, de la paternité et de la vie familiale au sein de la Direction du travail.
- Lisez la présentation du ministère de la Santé sur les différences entre postnatale, parentale et enfant de moins d’un an.